aircockpit.com

Je peux définir la course.
Il faudra voir comment contrôler le servo, souvent la valeur de contrôle va de 0 à 1024 celle-ci dépend du nombre de bit du convertisseur analogique/numérique.

J’ai un gros doute concernant l’utilisation d’un moteur pas à pas pour emuler les déplacements de la capsule. Les mouvements de celle-ci doivent être de l’ordre du dixième de millimetre, le train d’engrenages d’horlogerie est là pour l’amplifier.
Ou alors le PAP commande directement le volet?
De toutes les façons il faut aussi trouver le moyen de connaître la position des tambours indiquant l’altitude en cours, puis d’induire la variation désirée dans un sens ou dans un autre a l’aide de La Fourche optique, pilotée mécaniquement ou électriquement.
On pourrait récupérer le code Grayhill en sortie, mais l’alti n’est probablement pas très précise, au mieux à 100ft près. Et il faudra la «  recaler » en fonction la valeur de pression affichée (donc lire le calage en hpa)et normalement avec la Température également, puisque ce qui est transmis est valeur anti standard calage 1013

Pas simple, je suis ces avancées avec intérêt!

Jacques

Pourquoi pas, Jacques !
Un moteur pap, 200 pas par tour, 32 microstep : la tangente de l'angle correspondant à 1 step est de l'ordre de1/1000, donc 1 microstep au bout d'un levier de1 cm, c'est un déplacement de 1/100 ...
Donc une came directement montée sur l,axe du moteur, et qui vient appuyer sur la capsule, ça pourrait peut être le faire ... le mouvement sera t il assez fluide, that is the question ?

Michel

Et si en plus on place une tige filetée, le déplacement sera encore plus fin !

Fabien,
Quelle est l'amplitude du mouvement de compression de la capsule ?
Michel

Et ne faut-il pas tenir compte de la pression atmosphérique "réelle" de la pièce au moment de l'utilisation ?

Je ne pense pas, Pierre.
La capsule anéroïde d’un altimètre est en principe « scellée » et remplie en atmosphère ISA (1013hPa au niveau de la mer, 15degres). Si on « monte » physiquement l’altimetre et la capsule qui va avec, la pression ambiante décroît et la capsule « gonfle » (pression extérieure < pression intérieure), et inversement.
Les seules corrections qui sont faites le sont au niveau de la température de l’air, et évidemment du calage altmetrique local, qui rajoute une sorte d’offset en plus ou en moins par rapport à l’altitude standard ISA. Ça doit être fait au niveau des engrenages et éventuellement d’une sorte de bilame calibré en température, ou via un dispositif électronique sensible à la Température.

Jacques

Ben justement, si la capsule est fermée elle est sensible à la pression extérieure ?
Et ce en fonction de la prise de pression statique : https://www.lavionnaire.fr/InstVolAltim.php

Et le réglage du GNH est celui de FS (ou P3D) et non le réel ... C'est juste ce que je dis ?

Ok on parle bien de la même chose alors, désolé
Il faudra effectivement connaître entre autres le réglage de QNH de FSX et le comparer au réglage physique de la molette.

Jacques

Eh oui Pierre, pas si simple que çà cette affaire ...moi je dis qu'il faut qu'on s'achemine doucement vers des pièces prévues pour la reproduction des atmosphères rencontrées lors des vols

Cordialement


Bernard